Lagazette

Paris / La Gazette

Le Président azerbaïdjanais Ilham Aliyev et le Président de la Guinée-Bissau Umaro Sissoco Embaló ont tenu une conférence de presse conjointe, marquant la deuxième visite officielle du président Embaló en Azerbaïdjan.

Les deux dirigeants ont exprimé leur engagement à renforcer les relations bilatérales, en se concentrant sur des domaines tels que la coopération politique, la défense et la collaboration économique.

Prenant la parole, le Président Aliyev a souligné le caractère historique de cette visite, en insistant sur les liens fraternels étroits qui unissent les deux nations.

Déclaration du Président Ilham Aliyev

- Cher Monsieur le Président, mon cher frère,

Chers invités, mesdames et messieurs,

Bienvenue, mon cher frère, et bon retour. J'ai de très bons souvenirs de ta dernière visite en novembre pour assister à la conférence COP29. J'ai invité M. le Président à effectuer une visite officielle en Azerbaïdjan, et je suis heureux qu'il ait accepté mon invitation. Donc, aujourd'hui, le Président nous rend visite pour la deuxième fois. C'est une bonne démonstration des relations fraternelles étroites entre nos pays et cela montre que nous travaillons vraiment ensemble comme des frères et des amis, et nous continuerons à le faire.

Ce voyage est une visite historique. Pour la première fois, le président de la Guinée-Bissau nous rend visite officiellement. Nous avons déjà discuté de questions importantes de notre agenda bilatéral et nous avons convenu de renforcer nos efforts pour développer un partenariat dans tous les domaines. Les relations politiques sont très bonnes et, encore une fois, je voudrais dire que la meilleure indication de cela est la deuxième visite du président. Nous nous soutenons toujours mutuellement au sein des organisations internationales et nous continuerons à le faire, principalement au sein des Nations unies et d'autres institutions telles que l'Organisation de la coopération islamique et le Mouvement des non-alignés.

Sur le plan économique, nous avons convenu que nous serions fournis avec des projets concrets d'opportunités d'investissement, et nous les examinerons. Je suis sûr que nous trouverons un terrain d'entente à ce sujet car nous investissons déjà dans de nombreux pays. Bien sûr, nous serions ravis d'avoir l'opportunité d'examiner les projets concrets. Nous pensons également qu'il y a une bonne opportunité de coopérer dans les domaines de l'industrie de la défense et de la défense. Pendant le voyage, M. le Président visitera l'une des unités militaires de l'Azerbaïdjan, et il y aura également une présentation sur l'industrie de la défense de l'Azerbaïdjan, qui pourrait intéresser nos amis.

Donc, maintenant l'agenda est vaste. La chose la plus importante est notre relation fraternelle étroite, le soutien mutuel au sein des institutions internationales et les projets concrets. Nous voulons les mettre en œuvre parce que les relations politiques en sont la plateforme.

J'espère, mon cher frère, que tu nous rendras visite à nouveau. Monsieur le Président m'a également invité à visiter son pays. Avec plaisir, je le ferai pour continuer notre dialogue fructueux. Alors, encore une fois, bienvenue.

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Ensuite, M. Umaro Sissoco Embaló, Président de la Guinée-Bissau, fait la déclaration.

Déclaration du Président Umaro Sissoco Embaló

- Merci beaucoup, mon cher frère, le Président Aliyev.

C'est un plaisir d'être ici à Bakou aujourd'hui et de renouveler nos relations. Je me souviens que nombre de nos techniciens ont étudié ici à l'époque de l'Union soviétique. Demain, la première équipe arrivera ici pour suivre une formation dans l'armée et la police. C'est très important pour nous.

Nous sommes ici aujourd'hui pour renouveler notre coopération dans de nombreux domaines, notamment la santé, l'éducation, l'armée et la sécurité. Nous sommes convaincus que cette visite ne sera pas seulement l'occasion de vous rencontrer, mais qu'elle sera également bénéfique pour nos deux pays.

Monsieur le Président, la Guinée-Bissau et l'Azerbaïdjan sont deux pays amis et nous partageons des idéologies communes. C'est pourquoi nous nous consultons sur des questions importantes au sein des Nations Unies et de l'OCI, dont nous sommes tous deux membres.

Lors de notre tête-à-tête, nous avons abordé de nombreuses questions internationales et nous avons convenu de nous soutenir mutuellement. Je pense que c'est très important. Cela nous donne l'occasion de travailler ensemble, main dans la main, pour voir comment nous pouvons rapprocher nos deux pays.