LE CÉLÈBRE MAGAZINE D’ART ET DE MODE BRITANNIQUE FAB UK MET À L’HONNEUR LES PEINTRES AZERBAÏDJANAIS
Créé par le turco-britannique Cem Kaplan, FabUK Magazine est une publication iconique sur la mode et le style de vie. Lue dans le monde entier, elle couvre tous les grands événements internationaux comme le festival de Cannes, le Red Carpet Show de Venise, le Modest Fashion Show d'Istanbul, le Festival international de la mode et du tourisme d'Égypte, et l’Hyper Show japonais. C’est aussi une exceptionnelle vitrine pour les artistes du monde entier : peintres, sculpteurs, artisans.
Il publie justement ce mois-ci un numéro spécial consacré à la quintessence de l’art mondial.
Parmi les artistes mis à l’honneur quatre peintres Azerbaïdjanais : Vugar Muradov, Elvin Nabizade, Farid Rasulov, et Anar Huseynzada.
Vugar Muradov
Vugar Muradov est un membre émérite de l'Union des peintres d’Azerbaïdjan. Il présente dans ce numéro son nouveau projet « Le mystère de la première couche » où les oeuvres paraissent inachevées afin de rendre témoignage à l’impulsion créatrice de l’artiste, généralement cachée, comme les magiciens gardent leurs secrets.
Elvin Nabizade
Elvin Nabizade est sculpteur et artiste d'installation dont l’oeuvre fait corps avec la culture azerbaïdjanaise et son patrimoine, et notamment la musique. Ses spectaculaires installations sont construites à partir d’instruments de musique traditionnels, fait à la main. Il est l’un des meilleurs ambassadeurs de l’âme azerbaïdjanaise.
Farid Rasulov
Farid Rasulov, l’ancien chirurgien ophtalmologiste, est devenu l’un des peintres les plus précis et les plus extravagants d’Azerbaïdjan mêlant trompe-l’oeil, ouvres géantes, installations, graphismes 3D, animation et sculpture.
Anar Huseynzada
Anar Huseynzada est l’une des grandes figures de la peinture azerbaïdjanaise. Son inspiration, il la trouve dans des thèmes traditionnels qu’il traduit de manière onirique et colorée.
Son sujet préféré est bien entendu la ville qu’il aime par dessus tout, Bakou, et en particulier sa vieille ville qu’il décrit – et peint – comme un conte de fée. Sa peinture rappelle les souvenirs, émerveillés ou effrayants, qui peuplent les rêves d’enfant. Cet enfant qu’il n’a, malgré sa carrure d’athlète, jamais cessé d’être.
https://fabukmagazine.com/