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TOUS LES PAYS, Y COMPRIS L'ARMÉNIE, RECONNAISSENT LE KARABAKH COMME FAISANT PARTIE DE L'AZERBAÏDJAN, SELON BAKOU

19 Avril 2025 14:01 (UTC+01:00)
TOUS LES PAYS, Y COMPRIS L'ARMÉNIE, RECONNAISSENT LE KARABAKH COMME FAISANT PARTIE DE L'AZERBAÏDJAN, SELON BAKOU
TOUS LES PAYS, Y COMPRIS L'ARMÉNIE, RECONNAISSENT LE KARABAKH COMME FAISANT PARTIE DE L'AZERBAÏDJAN, SELON BAKOU

Paris / La Gazette

Le ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Djeyhoun Baïramov, a déclaré que les négociations directes entre Bakou et Erevan sont le moyen le plus efficace de résoudre les problèmes existants.

Le ministre azerbaïdjanais a fait ces remarques dans une interview avec le diffuseur turc TRT World.

M. Baïramov a noté que le dialogue bilatéral produit des résultats bien meilleurs que les discussions impliquant des médiateurs.

Il a également évoqué que tous les pays du monde, y compris l'Arménie, reconnaissent de jure et de facto que le Karabakh appartient à l'Azerbaïdjan.

« Cela signifie qu'il n'y a pas de questions en suspens concernant le Karabakh. Donc, si c'est le cas, alors pour nous, c'est un peu un point d'interrogation de savoir pourquoi la République d'Arménie insiste encore pour maintenir le Groupe de Minsk. Cela soulève quelques questions—s'il y a des plans pour l'avenir ou autre chose—car sinon, nous ne pouvons trouver aucune explication logique », s'est interrogé le chef de la diplomatie azerbaïdjanaise.

Traité de paix entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie

« La signature d'un accord de paix final entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie dépend des prochaines étapes prises par la partie arménienne », selon M. Baïramov.

Selon le ministre, parvenir à un accord sur le texte du traité de paix est le résultat des efforts des deux parties, et la signature du document marquerait la dernière étape du processus de paix.

« De ce point de vue, tout est entre les mains de la partie arménienne. Il nous est difficile de nous prononcer sur le calendrier, car de temps en temps, nous entendons des discussions dans la société arménienne et parmi les dirigeants arméniens sur, je ne sais pas, leurs projets d'adopter une nouvelle constitution. Sans entrer dans les détails de ce qui pourrait être inclus dans cette nouvelle constitution, nous espérons qu'ils le savent », a poursuivi M. Baïramov.

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